Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Anaee, ma vie mon blog

Visiteurs
Depuis la création 74
9 novembre 2013

Une présentation

Une présentation
Bonjour à tous, c'est moi Anaé. Je suis la rédactrice de ce blog (nouveau). Ce blog sera mon "journal intime" ou mon "défouloir" virtuel, donc si vous allez ici et en commentaires pour critiquer barrez vous, c'est un conseil. =) alors comme le nom de...
Publicité
9 novembre 2013

CHAPITRE DEUX DE MA FIC

Comme prévu, le chapitre deux.. sérieusement, n'hésitez pas à mettre un commentaire que je sache un peu votre avis ^-^ je vous remercierais avec un commentaire sur votre blog.

CHAPITRE DEUX

"Ils courent les, ils courent les, ils courent les chevaux"...

C'était ce que chantait Caro, une stagiaire au ranch depuis tout à l'heure, devant le feu de camp qui brillait dans le noir. Je n'avais pas pu me retenir d'aller à ce feu de camp, histoire d'échapper à ma triste routine habituelle. Bien sûr, Loola n'était pas là, et je ne comptait pas le lui dire. L'ambiance était bon enfant, tout le monde chantait, rigolait. Les histoires d'horreur n'étaient bien sûr pas encore venues. Il fallait attendre "plus tard". Minuit peut être.

Parfois, je regardai mon portable, ma mère s'inquiétait pour moi, me posant des tonnes et des tonnes de questions sur le fonctionnement de la soirée. Je regardai le ciel plein d'étoiles, quand la main de Caro vint sur mon épaule. Elle était, vraiment, vraiment très jeune. Je dirais, seulement 4 ans de plus que moi. Elle me chuchota:

-"Chante, ma puce !"

Je hochai la tête, fourrant mon portable dans ma poche. Caro le remarqua et tendit la main.

-"Pas le droit à l'éléctronique, ce soir !"

Je ris en lui passant mon téléphone. Elle me le prit en me disant qu'elle me le rendrait plus tard, et continua à chanter de sa voix claire. Nos voix fusaient et touchaient le ciel...

Soudain, un livreur arriva avec des cannettes de sodas plein les mains. Il nous les tendit, puis s'en alla sans rien ajouter de plus. Caro ouvrit sa cannette et la brandit en l'air en criant:

-"A l'équitation, notre passion !"

Je fis le même geste qu'elle et but la moitié de ma cannette en presque une seule fois, heureuse. Nous recommencèrent à chanter, mais plus doucement. Certains arréterent même, buvant leur boisson à la place. Caro me chuchota:

-"Je pense qu'on va arréter, on a l'air trop ridicules, là, non ?"

J'éclatai de rire, et elle aussi. Nous allions être de bonne amie. Soudain, elle me demanda, prenant une tête triste:

-"La Loola n'est pas là ?"

Je déglutis et répondit que non. Caro hocha la tête, intriguée, en répétant que c'était bizarre. Je dis de même comme si de rien n'était et essaya de changer de sujet: sinon, j'avais l'impression d'être lâche. Caro applaudit pour gagner le silence et cria presque:

-"Maintenant, on va se raconter des histoires... d'horreur, brouuuh !"

Je riait en croisant les bras sur mes cuisses. C'était le moment qui était le plus attendu par tout le monde environ. Caro fit une intro morbide, étouffant son rire. C'est alors que commencérent les vraies histoires. Elle leva la main en rigolant:

-"Je commence les enfants. J'ai un truc à dire. enfin une histoire."

Elle se racla la gorge et commença:

-"Heu, c'est une histoire qui concerne le ranch en faite. Ca raconte l'histoire d'un mec, d'accord. Un jour qu'il se baladait dans la forêt avec Teerdee, son cheval, il vit une terrifiante personne, avec une faux. Cette personne la tua sans raison apparente d'un seul geste. Une année plus tard, le mec tué réapparut. Il veut se venger, quitte à tuer des innocents... il parait qu'à la pleine lune, il se transforme en cheval. Et c'est peut être... quelqu'un d'entre nous !"

Je frissonai, puis dévisageai Caro, qui s'écria:

"UN CHEVAL-GAROU !" 

9 novembre 2013

Chapitre premier "The Horse of eternity"

Yo à tous, ici Anaé pour le chapitre premier d'une de mes fictions "The Horse of eternity". Je l'ai faite il y a quelques semaines et ne l'ai pas encore finie, ne vous inquiétez pas si la suite tarde... un peu. Trève de bavardage, et bonne lecture.

CHAPITRE PREMIER

Je m'esclaffais. Loola imitait la directrice du Ranch de l'Eternité, en caricaturant cette dernière un brin. Nous étions jeune, à l'époque. 15 ans seulement, et pourtant, nous avions toutes les deux traversé des étapes très dures. Loola était orpheline depuis 6 ans, et moi,Chandra, mon frère était mort il y a seulement un an. J'avais été tellement bouleversée que je m'étais enfermée chez moi un mois. Je ne faisais que pleurer. Heureusement, j'avais retrouvé le plaisir de galoper dans les prés pour oublier mes soucis quelques mois après. Cependant, Loola, même dans sa famille d'accueil, se sentait toujours aussi mal et traumatisée. C'était mon rôle de la consoler quand elle n'allait pas bien, et j'en étais fière. Loola faisait vraiment partie de mon coeur.

- "Tu me feras toujours autant rire, Loola."

Loola me passa un bras autour du cou et nous rigolâmes ensemble. Nous nous arrêtames près des "petites annonces" du ranch. C'était un peu notre "rituel" du soir. Je regardai l'horizon, quand Loola éclata de rire:

-" Je rêve, il y va un feu de camp près de la clairière, samedi. Sûrement pour se raconter des histoires incompréhensibles qui sont sensées faire peur."

Je savais que, ce qu'aurait pu rajouter Loola, c'était "Contrairement à ces balivernes, mon histoire fait beaucoup plus peur. Et elle est vraie". Je croisais les bras. C'était vrai qu'un feu de camp était un peu miteux, mais bon, ça devrait être marrant.

-"C'est vrai, mais bon..."

Je ne dis rien de plus, car Loola faisait une mine choquée, la bouche grande ouverte. Elle jeta un coup d'oeil au soleil qui commençait à se coucher, je pu donc dire:

-"Ne t'inquiète pas, je n'y irais pas."

Elle souffla, soulagée, puis sourit.

-"C'est pas grave, de toutes façons, fais ce que tu veux... mais bon, je dois rentrer chez moi, ma... "maman" va s'inquiéter sinon. J'aurais dû y aller il y a 15 minutes."

Elle me fit la bise et s'en alla, un sourire triste aux lèvres. Avant de partir, je lui ébouriffai tout de même les cheveux. "Courage, Loo !". Je me retournai vers l'affichette du feu de camp et en dessinai les contours du doigt. puis je soupirai, et tournai les talons, resserai ma bandoulière.

Je marchai lentement vers le parking où mon père m'attendait, dans sa vieille voiture. Je m'asseyai sur le siège avant et soupirai:

-"Salut, papa..."

Il ne répondit rien. Une musique classique résonnait dans la voiture.

FIN DU CHAPITRE PREMIER.

Publicité
Anaee, ma vie mon blog
Publicité
Archives
Catégories
Publicité